Libres expressions.
Notre belle langue comporte tant d'expressions qu'il serait dommage de ne pas les faire revivre, en les détournant, bien sûr.
- Malgré la crise, l’industrie cosmétique française fait encore bonne figure.
En tant qu’hémophile, il est dur de gagner sa croûte.
- Dès le premier épisode, le succès de la petite maison dans la prairie, je le voyais gros comme une maison.
- Louis XVI, en janvier 1793, était-il heureux comme un roi ?
- La marque Aubade fait partie des gros bonnets de la lingerie.
- Les Français adorent payer des impôts, d’où l’expression (fiscale) : impôt-cible n’est pas français.
- J’aime bien Magritte et son art d’amuser la galerie.
- Il ne faut pas avaler ses crottes de nez, car la religion interdit de manger du curé.
- Ah ben mince ! J’avoue ne pas savoir quels furent les derniers mots de Cambronne.
- Quand mon dentiste me montre sa facture, je lui montre les dents !
- Et je laisse les grenouilles me parler de la nuit d’étang.
- Halte à la vilénie ! Il y a un gars qui fait filmer ses parties de jambes en l’air pendant lesquelles il en saute de plus en plus.
- Le téléchargement illégal fait que l’industrie pornographique part en couille.
- Dans l’animalerie, les jours creux, il n’y a pas un chat.
- Dans le sex-shop, les jours creux, de clients, on n’en voit pas la queue d’un.
- Le jour de la tonte, les moutons passent un sale cardeur.
- Drogue douce : petit poison deviendra grand.
Au loto, quand le 20 est tiré, il faut le croire.
La dernière fois que j’ai porté un toast, c’était du grille-pain à mon assiette.
Mon médecin m’a pris en grippe, mais avec une heure de retard.
Contre les lancers de nains, qui poussaient les hauts cris ?
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Quand Michel Onfray parle d’athéisme, il prêche pour sa paroisse.