Rétro : les JLGeades de l'Almanach Vermot janvier et février 2016.
Comment un gardien de 120 kilos peut-il prétendre être intransigeant sur sa ligne ?
Quand on sait que le jeune attaquant vient au stade à vélo, rien de surprenant qu’il ait marqué un but sur bicyclette.
Un attaquant adroit face à un arrière gauche.
L’opérateur comptable et le footballeur ont ceci en commun : il leur arrive de taper les montants.
Vous avez remarqué que beaucoup d’attaquants sud-américains se signent après un but, c’est parce qu’ils pensent à leurs mères cathos.
Il ne faudrait pas que votre amour du foot vous coupe du monde.
Le footballeur anglais est réputé pour aimer la pression.
Stupéfiant : un drogué de rugby attaque sa troisième ligne.
Sur la ligne de départ du marathon, il y avait des signes avant-coureurs.
Son roman sur le rugby était assez confus. Déjà les trois premières lignes étaient toutes en mêlée.
Contrairement aux basketteurs, je n’ai pas besoin de lever les bras pour mettre la main au panier.
Le grimpeur aurait gagné le Tour grâce aux étapes de montagne, s’il n’avait pas fait l’œuf sur le plat.
Du temps du dopage à outrance, on pouvait parler de peloton d’exécution.
On disait Anquetil dopé, je ne sais pas, mais ce qui est sûr, c’est que Poulidor était dans un état second.
Les joueuses de tennis qui servent leur première balle à seulement 60 km/h méritent un pourboire, car chez elles le service n’est pas compris.
Les athlètes font les courses, les footballeurs vont au pressing.
Le gardien de buts a fait un dernier arrêt, cardiaque.
Dans le sport, un des points les plus intéressants, c’est le suspense. Prenez le trampoline, c’est plein de rebondissements.