Les 6mots du mois de septembre 2014.
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Voici la compilation de mes 49 contributions de septembre au site www.6mots.com, un site où se retrouvent, toujours en 6 mots, de la poésie, de l'humour et parfois de l'humeur.
- Les cernes, ces rayons de sommeil...
- Après tout, nous ne sommes rien.
- Enfantée par le mâle de mère.
- Un expansif n’est forcément plus pensif.
- Mon réveil s’occupe de la relève.
- Louis XVI a accusé le cou.
- Sans blablas et sans qu’on m’enterre.
- Visages à rides sur rivages arides.
- Une pluie battante, c’est son caractère.
- L’amant d’un jour, l’amende un jour.
- Avec légume des jours, Boris Viande ?
- On peut relever que l’acide bout.
- Haut pignon perturbé par des sondages.
- Le pétomane, c’était mieux à vents.
- Incarcéré pour évasion fiscale, il récidive.
- Ton futur café est bien passé.
- La boxe, un sport trop gnons.
- Dépassé, Hollande serre à droite, logique.
- La pensée est une fleur éternelle.
- Toujours opposés : glandeurs et des cadences.
- Renoncer au hasard, loto sans sûr.
- Suis perdu, si ça se trouve.
- Secret de son infidélité jalousement gardé.
- Rosiculteur : spécialiste de la haute bouture.
- Les problèmes de Libération sont captivants.
- Lire permet de vivre plusieurs fois.
- Vivre permet de lire plusieurs fois.
- Par habitude, j’aime pas la routine.
- Sa proximité du singe limite l’homme.
- Habitant de cette planète, ben Terrien !
- Le décès est une pratique mortelle.
- Elle est ponctuelle sur le tard.
- Il est arrivé plutôt trop tard.
- Cet attardé était toujours en avance.
- Il me tarde d’arriver trop tôt.
- Monter très tard sur les tréteaux.
- Un choc mortel, un coup décès.
- C’est lundi, mais c’est pas grave.
- Météo d’automne, faire preuve de débrouillardise.
- Un séquoia gigantesque, un pécher mignon.
- Chambre aère autant que tu pneus.
- Vous monterez et je vous montrerai.
- Voir double est un deux voir.
- Le silence, c’est pas pour dire…
- Je me rapproche d’un cousin éloigné.
- Plus elle s’approchait, plus j’étais contre.
- Son absence, va falloir faire avec.
- L’omniprésence, il faut savoir faire sans.
- Les puéricultrices en tiennent une couche.