Publié par jlgdu54
Fichtre 57 JLGeades cette semaine !
- Pour aller loin, prenez du recul.
- Un homme expérimenté qui sort de l’impasse sait de quoi il retourne.
- Plus il découche, plus elle est lit vide.
- Paradoxe des otages libérés. Une libération a toujours quelque chose de captivant.
- Tu rentres fin bourré, tu as encore vomi partout, et tu voudrais que je passe l’éponge ?
- Selon le manuel de savoir-vivre, Cerise de Groupama, on l’accueille avec la queue ?
- Les agriculteurs savent rester ferme.
- Notre démocratie est malade, mais pour autant la dissolution n’est pas la solution, car en cas de maladie, il est conseillé de garder la Chambre.
- Les gastronomes et les apprentis plongeurs, même combat : au bout du 5ème plat, ils fatiguent.
- Sa greffe de rein l’avait soulagé, mais cela n’a pas d’urée.
- Il y a deux sortes d’orateurs : ceux dont on boit les paroles et ceux qui nous saoulent.
- Je ne suis pas aussi sûr que certains.
- Il n’est pas très dictionnaire, même s’il s’intéresse aux roberts de la rousse.
- Otages libérés : 10 mois c’est long, de quoi devenir soupe au lait quand on est trop otage.
- Avec un beau livre, on passe à la postérité, avec un beau cul, on passe à la postériorité.
- La prestidigitation ne doit pas être remise aux lents de mains.
- Sur Internet la souris permet d’accéder aux chats.
- La nuit porte conseil souvent et porte-jarretelles parfois.
- L’abattement fiscal n’a jamais autant mérité son nom.
- Le notaire à sa femme qui prend trop de place sur le matelas : ce lit m’appartient à 50%, alors pourquoi n’ai-je qu’un quart de l’usufruit ?
- Les perspectives de redressement du pays sont largement entrouvertes.
- La ville de Houilles est dans le département des Yvelines. Message pour ceux qui ne voient qu’houille en Nord.
- Coupe de la Ligue : sur l’arbitrage, le vaincu en aura trop fait et le vainqueur au bout du compte en aura trophée.
- Et ça remonte au temps où on ne voyait qu’houille en Nord, l’époque où ils étaient fiers de Lens en allant au charbon.
- Ma femme m’a de nouveau quitté. Je dois avouer qu’elle a le sens de la repartie.
- A propos d’une femme soupçonnée d’être infertile : « je vous promets qu’il n’en nait rien ».
- D’un ivrogne repenti : je ne suis plus cuite, je suis un homme neuf !
- C'était un cru pour lequel j'avais cru que c'était cuit.
- Je peux le panier, je ne peux pas le nier.
- Chère banane piégeuse, j’aurai ta peau.
- Aux Antipodes, il y a une caste qui n’aime pas les rediffusions.
- Pour les chrétiens, l’agonie est quelque chose de pré-cieux.
- Les pétards, c’est l’amorce de quoi ?
- Quand je parle de moi à Pierre, Paul et Jacques, quand j’en arrive à Jacques, je parle de moi à la 3ème personne.
- Moi aussi je suis pour l’équité (ou les quitter).
- A la SNCF, ils ne manquent pas d’en train, on trouve même des locaux motivés.
- Les années ont besoin de mois.
- Sa femme, on la garde, et les autres, on les regarde.
- Amédée tarde à m’aider.
- On a choisi le maréchal Foch pour signer l’armistice, car il avait un sourire désarmant.
- J’ai longtemps attendu mes sous venir.
- Le fossoyeur était tenté de s’enfouir.
- Un vin cuit de grand cru ?
- Vous voyez comment notre Marcel s’emmanche ?
- Le compte-joints, très utile aux plombiers. Avant, le plombier mettait des plombes à tout compter.
- Oh, t’as ri, quand j’ai dit que la musique adoucissait les morses.
- Il est possible de faire Genève-Lausanne en bateau de luxe, mais c’est avec sup-Léman.
- Ségolène n'a pas inventé la lutte anti-décolletés. A Bègles, ils ont depuis longtemps un plan Mamère.
- Et si on diminuait la rétribution des députés ? Au Japon et en Pologne, cela fait longtemps que les parlementaires sont à la Diète.
- Le piano nourrit plus souvent le restaurateur que le musicien.
- Il vaut mieux toucher les fonds à plusieurs que le fond tout seul.
- Elles étaient diamétralement ménopausées.
- Le comble à Pâques, ce serait de rallier Rome à cloche-pied...
- Pour Pâques, prenez du recul et pas trop de chocolat. Ceux qui abuseront du chocolat, prendront, eux, du cul.
- Pâques : la résurrection des couilles en or des chocolatiers.
- Pâques cette année, c'était comme les autres années : dimanche chocolat et lundi gestion.
- Le repas de Pâques a été fatigant : belle-maman, vos paupiettes sont lourdes comme du plomb…